Une histoire d'E
En cette fin mars la neige est toujours présente, là elle tombe à gros flocons, que l'on nomme chez nous des tatouillards.
Une grande mélancolie m'étreint, cet hiver qui n'en finit pas, mange notre printemps souvent absent.
Quand viendra le temps des cerises, nous mangerons encore des oranges, et en été viendra peut-être les baignades, sans que nous ayons goûté le temps du printemps.
Oh temps! suspends ton vol, mais arrête la pluie, je n'ai pas envie de citer Paul Verlaine, mais plutôt Paul cuisine, qui fait des petits plats économiques mais très bons, je signale qu'il n'a que quinze ans.Si vous cherchez, un peu de poésie dans mon texte ce n'est pas pour aujourd'hui.
Je me cherche, et ne me trouve pas.
Pourquoi ne peindrai je pas une cage,
mais je n'ouvre pas la porte, parce que les oiseaux se cachent pour fuir la froidure de cet hiver qui n'en finit pas.
Ne versons pas de larmes amères, gardons les pour des choses plus sérieuses par exemple quand l'été sera là attention aux coupes de champagnes qui nous ferons chavirés. Cette ligne n'a aucun sens mais moi je n'ai aucune idées.
Et ben, je reste devant mon écran toute perdue, et la tête vide.
et je vous embrasse éperdue, et perdue.
Votre amie plus nulle que les nuls
Marrainesuisse------egale Josette
Ou plutot bonne soirée
EhEhEeeeeeeee.